A la fois spectacle de danse et expérience en réalité virtuelle, No Reality Now est une proposition artistique ambitieuse, qui explore la question du rituel et du passage de la vie à la mort. L’œuvre a bénéficié du programme Chimères du Ministère de la culture et est présentée sur IFdigital, le site...

Avec LOVETRAIN2020, le chorégraphe israélien Emanuel Gat livre une comédie musicale exaltante, qui utilise les chansons de Tears for Fears lors d’une impressionnante fête collective. Présentée en France et à l’international, avec le soutien de l’Institut français, elle revient également sur les...

Avec Protozoa, réalisé en collaboration par plus d’une dizaine d’artistes européens, les corps et les machines se conjuguent à travers le prisme de la danse. 

Dans Pixel, pièce créée par Mourad Merzouki pour sa compagnie Käfig, la vidéo est un danseur à part entière. Les frontières entre corps et projections se brouillent pour créer un monde futuriste.

Avec Rêve quantique, le jour où j'ai imaginé l'océan, Virgile Novarina, Walid Breidi et le collectif LABOFACTORY ont créé une installation-performance afin de sonder les états de notre cerveau lors du sommeil. Grâce à ce projet, ils interrogent, en temps réel, les insondables du sommeil et de l...

Archéologie, cinéma, musées, audiovisuel, spectacles, jeunesse, patrimoine, danse, archives... Découvrez l'exceptionnelle offre culturelle numérique gratuite proposée par le ministère de la Culture et ses opérateurs sur culturecheznous.gouv.fr.

Dans Möbius, la compagnie XY, dont l'Institut français soutient la présence à l'international, s'associe au chorégraphe Rachid Ouramdane afin d'étudier l'acte acrobatique. En mettant en scène le phénomène de « murmuration », ils imaginent une pièce poétique, plongée dans un perpétuel mouvement. 

Voix intérieures est la première création du chorégraphe congolais Yves Mwamba, un spectacle engagé, consacré à la jeunesse congolaise et à ses révoltes. L’œuvre emprunte autant aux codes de la danse krump qu’à l’énergie des marches militantes.

Avec son solo An Immigrant's Story, Wanjiru Kamuyu interroge tout ce qu’engendre un déracinement, mêlant à sa danse et ses souvenirs des récits intimes de parcours d’immigration.

S’inspirant des arts ancestraux japonais, Benjamin Karim Bertrand crée le solo Vestiges (2020) autour de la mémoire et de l’empreinte que laissent les corps et les esprits. Une pièce née de nombreuses séquences filmées et portée par l’intériorité du geste.

Né d’une rencontre entre la percussion corporelle et l’acrobatie, Bataille (2013) de Pierre Rigal est un duo où se mêlent la violence et le rire, les coups et les caresses. Un corps-à-corps chorégraphique d’une grande exigence technique comme d’une folle intuitivité.

Avec son deuxième solo, Beloved Shadows (2019), Nach hybride le Krump et le Butô, deux danses nées de mouvements contestataires, pour explorer le désir des femmes et invoquer ses fantômes. Un projet né lors d’une résidence à Kyoto.

Esteban Fourmi et Aoi Nakamura, fondateurs de la compagnie AΦE,  proposent avec Whist une étonnante expérience où se mêlent danse et réalité virtuelle, proposant au spectateur de voyager dans les méandres de son inconscient.

Fondateur de la Compagnie Massala, le chorégraphe Fouad Boussouf a créé Näss (en français Les Gens) où il unit sept danseurs issus du hip-hop, de la danse traditionnelle marocaine et du cirque contemporain. 

En complicité avec le magicien Thierry Collet, Nathalie Pernette chorégraphie Les Ombres blanches où le surnaturel défie la mort. Dans les ruines d’une maison, un duo de danseurs anime des fantômes en mouvement qui font sourire et frissonner petits et grands à partir de 6 ans.